Les cahiers 1 à 49 racontent nos aventures et nos découvertes depuis le départ du tour du monde à Dunkerque jusqu'à notre arrivée au Venezuela.
Ils correspondent aux séries 1 à 4 .    Voir la page : Passer commande si vous voulez les recevoir.
Et que ceux qui hésitent encore prennent le temps de lire cette page.

 

Nous avons quitté Dunkerque (cahiers 1 et 3) en direction de Saint Pierre de Guernesey puis Cherbourg, Camaret et Brest. Au passage nous vous avons donné toutes les informations nautiques nécessaires au franchissement du raz  Blanchard   et du chenal du Four (cahiers 2 et 4). Nous vous avons fourni la liste de toutes les stations météo du coin (cahier 6) que nous avons écoutées avant de traverser le golfe de Gascogne (cahier 5) en compagnie de notre fille, de son copain Ludo et de Jean-Paul. Lors de notre escale à la Corogne (Cahier 7) nous vous avons fait découvrir la fabuleuse tour Hercule, le plus vieux phare du monde encore en activité. Nous ne vous avions pas parlé du "Sumo" qui garde la voie d'accès. Sympathique, le bonhomme... Nous avons découvert ensemble les rias Altas avec le mouillage de Redes (cahier 8) et la Marina Sada (cahier 9)dont vous avez eu les positions GPS. puis nous avons quitté la Corogne pour atteindre Camarinas, capitale de la  dentelle (cahier 10).
Dans le (cahier 11) nous commentons le passage entre la terre et les îles Sisargas. et nous arrivons aux îles Cies (cahier 12) C'est la qu'on a essayé de vous faire envie en parlant pour la première fois de voyage de rêve et  nous avions publié une photo de bain dans de l'eau turquoise. En fait, si on regarde cette nouvelle photo, Anik est toute blanche (avec des marques) par manque de soleil à cette époque et l'eau est tellement glacée qu'il lui a fallu 1/4 d'heure pour y rentrer... Pour la traversée jusque Porto Santo (cahier 13) nous n'étions plus qu'à deux et ce fut assez mouvementé. Par contre la découverte de l'île nous a beaucoup plu (cahier 14) ainsi que les expéditions sur sa grande soeur

Madère (cahier 16) qui dispose d'un extraordinaire réseau de canaux d'irrigation appelés "levadas"et d'une organisation de cultures en terrasses (cahier 18). Nous avons décrit la marina de Funchal (cahier 15), les escales de Quinta do lorde et de Machico (cahier 17). Nous avons fait un article sur le site de Banik pour parler de la marina de Calheta, toute neuve, nous étions le 4ème voilier à y rentrer. Ce que nous n'avons pas montré, et on garde ça entre nous, c'est le parking à jet ski digne de la cote d'Azur. Ils en attendent un paquet... Dépêchez vous d'y aller.

Nous avons traversé de l'île de Madère vers les Canaries avec le (cahier 19). C'est à Las Palmas que nous vous avons fait visiter "Tara" l'ex "Antartica" conçu par Jean-Louis Etienne (cahier 20). Nous avons aussi profité de cette escale pour faire quelques travaux de préparation à la transat  et repeindre le pont de Banik (cahier 21).

Souvenez vous de cette mémorable bataille navale remportée par Baptistin le terrible et son équipage (cahier 22). En fait c'était bien une régate d'annexe au départ... Et on a même gagné une coupe.

 

Avec le (cahier 23) Nous avons effectué un retour nostalgique à Valle Gran Rey sur l’île de Gomera.  Puis nous avons visité toute l'île (cahier 25). C'est au Nord que nous avions assisté impuissant au changement de temps qui était en train de malmener un voilier dont le propriétaire n'était pas à bord (cahier 24). Le lendemain nous avions quitté l'île de Gomera sans connaître, tout comme vous, l'issue de l'histoire. C'est plusieurs mois après que nous avons trouvé sur un site Internet ami cette photo (à droite) qui témoigne que le brave petit bateau n'a pas tenu son mouillage et à fini à la cote.

	photo   François et François
Nous avons traversé l'Atlantique à partir de l'île de Gomera située aux Canaries jusqu'à Grande Anse d'Arlet en Martinique en 19 jours. Notre fils Gibé nous accompagnait. Il y a eu :l'organisation des quarts (cahier 26) , la description d'une journée idéale (cahier 27) et aussi d'une sale journée (cahier 29). Grâce à Gibé nous avons beaucoup péché (cahier 28). Nous avons aussi tiré beaucoup de photos pour décrire notre quotidien (cahier 30). Ce fut une belle transat. La plupart du temps c'est aussi magnifique que sur la photo ci-contre. Même si c'est un peu fatigant, on était tous les trois heureux, il suffit de revoir nos têtes à l'arrivée.
Anik	Gibé                                                           Jean-Baptiste
Nous avons atterri en Martinique qui est une île que nous aimons beaucoup Avec le (cahier 31) nous vous avons fait visiter l'île et goûter à certains charmes locaux. Jean-Baptiste s'est remis à la plongée sous marine et vous vous souvenez sans doute de la visite en photos de l'épave du Nahoon (cahier 32). Ce grand voilier de plus de 25 mètres est posé tout droit sur un fond de sable à 35 mètres de profondeur. Le plongeur n'avait pas vu tout de suite ce gros barracuda qui le suivait à 3 mètres...En principe, ce n'est pas dangereux.
Pour que ceux qui viennent aux Antilles sachent choisir leur saison préférée, il y a le (cahier 33). Vous rencontrerez alors peut-être le Bel Espoir du père Jaouen que nous avons visité avec vous au (cahier 34). Nous avions de la chance ce jour là. Un joli petit cotre est venu se faire photographier à contre jour le long de la coque de son grand frère.
Nous abordons quelquefois des thèmes généraux comme la pollution (cahier 35). Aujourd'hui nous préférons vous montrer une belle photo comme celle de la joie de vivre de ce dauphin qui galope en mer devant l'étrave de Banik. Puis nous vous avons emmené à Salt Whistle bay pour y découvrir sa magnifique plage de sable blanc (cahier 36)

Avec le (cahier 37) nous avons expliqué à l'aide de nombreuses photos, comment on peut naviguer en observant la couleur de l'eau. C'est une pratique indispensable pour faire du rase cailloux sous les tropiques. Depuis, nous avons eu l'occasion de prendre cette nouvelle photo avec une ligne très nette formée par un talus de sable. Regardez bien, le fond passe de trois mètres à deux mètres juste après la marche plus sombre.

Dans le (cahier 38)  nous avons fait un reportage sur le cyclone Yvan qui avait ravagé l'île de Grenade en septembre 2004. Ce reportage est  appuyé par des photos récupérées auprès d'amis de bateaux qui étaient sur place. Presque un an après, nous sommes passé à Grenade. Ça n'a pas fait l'objet d'un cahier car notre visite fut rapide. Nous avons tout de même pu constaté qu'il y a encore des séquelles sur le port et alentours. C'est dur de se remettre d'un cyclone. La cathédrale n'a toujours pas retrouvé son toit et bon nombre de maisons restent en l'état.

Quand on fait des photos en mer, on collectionne des ciels merveilleux (cahier 39) et toujours changeants. La photo fige un instant de ces animations planétaires.

	Comme nous avançons vers le Sud et que nous ne reviendrons pas de si tôt dans les Antilles françaises, nous avons consigné dans le (cahier 40) nos souvenirs concernant la cuisine, le parlé créole et le rhum. Voici en photo, un nouvel exemple de ce savoureux parlé créole avec sa traduction en français. Photo Patrick Pont   Nous avons consacré trois (cahiers 41, 42, 43) et un article sur le site de Banik au sujet du passage du cyclone Emily.  Vous avez pu suivre comment Banik et son équipage ont vécu la nuit du 13 au 14 juillet 2005 lorsque l'oeil d'Emily n'est passé qu'à 27 milles de notre abri à Carriacou.
Nous avions été catastrophés, sans rien pouvoir faire, quand on a appris la disparition du propriétaire de ce trawler qui appelait désespérément  pour qu'on vienne le chercher dans la baie alors que son bateau était en train de couler sous les vagues générées par 75 noeuds de vent. Et bien nous avons une bonne nouvelle à vous annoncer dans ce 50ième cahier : Nous avons appris bien plus tard que l'homme a été retrouvé le lendemain, par un cargo à 30 milles de là, sain et sauf dans son canot de survie (qui n'a pas coulé lui). La photo ci contre, est le bateau, maintenant renfloué, qui a été coulé juste par les vagues générées en 200 mètres de fetch. Ça ne rigole pas un cyclone...

Dans les (cahiers 44 et 45) nous relatons notre passage à Sainte Lucie et à Bequia aux Grenadines. On innove un peu dans le (cahier 46) en remplaçant par des dessins les photos que nous n'avons pas pu prendre des agents de l'immigration et des douanes au moment des formalités d’entrée à Cariacou. On s'est un peu amusé mais nous aimons beaucoup cette île et nous espérons que ça se sent au travers de la description que l'on en fait dans le (cahier 47).

Les îles Testigos constituent le premier archipel du Venezuela que l'on touche durant ce voyage autour du monde. Il mérite bien un (cahier 48) entier a son sujet. Et puis il y a Chun Chun le pécheur et sa famille qui vivent la bas. Vous avez constaté dans le (cahier 49) que nous leur consacrons, que la relève est bien assurée.

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